Projet de Panthéon national des Canadiens-Français (cliquer sur un visage pour accéder à la biographie)

7

Saints martyrs
canadiens

8

Marie de 
l'Incarnation

9

Dollard
des Ormeaux

10

Marguerite
Bourgeoys

11

Pierre Lemoyne
d'Iberville

12

Mgr Ignace
Bourget

13

Louis Riel

14

Calixa Lavallée

15

Emma Albani

16

Alphonse
Desjardins

17

Famille
Joseph
Casavant

18

Léo Major

19

William Henry
Scott

20

François Xavier
Garneau

21

Joseph-Xavier
François Perreault

22

À venir

23

Famille
Hébert-Rollet

24

Madeleine
de Verchères

25

Louis Jolliet

26

Famille
Baillargé

27

Jean-Baptiste
Ferland

28

Philippe
Aubert de Gaspé

29

Conrad Kirouac
Fr. Marie-Victorin

30

Curé
Antoine Labelle

31

Louis Cyr

32

Henri d'Arles
(Beaudet)

33

Capitaine
J.-E. Bernier

34

Esdras
Minville

35

Maurice
Séguin

36

À venir

Autres personnages remarquables

Dernières parutions

Cinquante ans de « référendisme » et de recul !

Robert Bryce, Al Johnson et Gordon Robertson, les trois fonctionnaires
de haut rang à la racine de l’étapisme, entourent Claude Morin. Ces hautes personnalités de l’entourage de P. E. Trudeau feront tout bonnement leur devoir en suggérant à « au moins trois reprises » l’idée du référendum à Claude Morin. Ce dernier s’en voudra de ne pas y avoir pensé lui-même.

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Continuité du Canada-Français

Il en ressort la pérennité de l’identité canadienne-française, qui n’aura accepté qu’un temps de s’appeler autrement, croyons-nous, cédant à la vogue de l’époque de « l’Homme nouveau », le Québécois, en l’occurence, pour lequel il fallait faire table rase de notre genèse. Ces « lyriques », démiurges amateurs, avaient besoin dans leur désir de puissance de nous modeler comme un pâte, Capital oblige.

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Ce que l’identité québécoise a coûté aux Canadiens-Français

Il est temps de réaliser que l’échec du référendum n’est pas là où l’on pense. Il n’est pas dans le résultat numérique global, mais dans l’encerclement des Canadiens-Français. L’identité québécoise a interdit aux Canadiens-Français de s’exprimer en leur nom, d’avoir, comme ils l’avaient avant, une personnalité politique bien à eux. On a perdu à cause de « l’argent et des votes ethniques », certes, mais il en manque un bout. On a perdu à cause d’une identité québécoise qui a transformé les Canadians du Québec en compatriotes des Canadiens-Français.

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Réhabiliter notre véritable histoire

Nous soutenons que la redécouverte de la période occultée et même noircie de notre histoire est le premier jalon de la réhabilitation de notre véritable identité collective en tant que noyau et sanctuaire de la francophonie nord-américaine. Ce n’est plus simplement la nature à laquelle il faut résister, qu’il faut maîtriser pour survivre, comme nos ancêtres. Leurs vertus doivent être transposées dans le monde moderne au service de la conscience, du discernement, de la vérité.

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Ni mirage référendaire ni constitution à rabais

Personne après Daniel Johnson en 1968 ne saura poursuivre ou relancer à son haut niveau la cause de la nation historique canadienne-française. Tous les chefs nationalistes du Québec, en commençant par René Lévesque, sont tombés dans le piège référendaire tendu par les conseillers de Pierre Trudeau.

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La fête patriotique des Canadiens-Français

Un phénomène de compensation dans l’ordre symbolique peut adoucir le sort peu enviable d’un peuple frustré de s’être vu refuser toutes ses réclamations de réformes constitutionnelles. Vus sous cet angle, les changements successifs apportés à la Saint-Jean-Baptiste élevée au rang de « fête nationale » font illusion.

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Notre fête nationale

Ne pouvoir vivre comme nous sommes, convenablement, dans notre langue, à notre façon, ça nous ferait le même effet que de nous faire arracher un membre, pour ne pas dire le coeur. A moins que nous n’y consentions peu à peu, dans un déclin comme celui d’un homme que l’anémie pernicieuse amène à se détacher de la vie. De cela, encore une fois, seuls les déracinés par­viennent à ne pas se rendre compte.
– René Lévesque

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Les 68 ans de la conférence de Bandung

les pays occidentaux de l’Alliance atlantique, dont le Canada fait partie, s’étaient déjà fait demander poliment de balayer devant leur porte. Mais les pays anglo-saxons, et leurs obligés, résistent mal à la tentation de donner des leçons aux autres.

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Cinquante ans de « référendisme » et de recul !

Robert Bryce, Al Johnson et Gordon Robertson, les trois fonctionnaires
de haut rang à la racine de l’étapisme, entourent Claude Morin. Ces hautes personnalités de l’entourage de P. E. Trudeau feront tout bonnement leur devoir en suggérant à « au moins trois reprises » l’idée du référendum à Claude Morin. Ce dernier s’en voudra de ne pas y avoir pensé lui-même.

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Continuité du Canada-Français

Il en ressort la pérennité de l’identité canadienne-française, qui n’aura accepté qu’un temps de s’appeler autrement, croyons-nous, cédant à la vogue de l’époque de « l’Homme nouveau », le Québécois, en l’occurence, pour lequel il fallait faire table rase de notre genèse. Ces « lyriques », démiurges amateurs, avaient besoin dans leur désir de puissance de nous modeler comme un pâte, Capital oblige.

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Ce que l’identité québécoise a coûté aux Canadiens-Français

Il est temps de réaliser que l’échec du référendum n’est pas là où l’on pense. Il n’est pas dans le résultat numérique global, mais dans l’encerclement des Canadiens-Français. L’identité québécoise a interdit aux Canadiens-Français de s’exprimer en leur nom, d’avoir, comme ils l’avaient avant, une personnalité politique bien à eux. On a perdu à cause de « l’argent et des votes ethniques », certes, mais il en manque un bout. On a perdu à cause d’une identité québécoise qui a transformé les Canadians du Québec en compatriotes des Canadiens-Français.

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Réhabiliter notre véritable histoire

Nous soutenons que la redécouverte de la période occultée et même noircie de notre histoire est le premier jalon de la réhabilitation de notre véritable identité collective en tant que noyau et sanctuaire de la francophonie nord-américaine. Ce n’est plus simplement la nature à laquelle il faut résister, qu’il faut maîtriser pour survivre, comme nos ancêtres. Leurs vertus doivent être transposées dans le monde moderne au service de la conscience, du discernement, de la vérité.

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Ni mirage référendaire ni constitution à rabais

Personne après Daniel Johnson en 1968 ne saura poursuivre ou relancer à son haut niveau la cause de la nation historique canadienne-française. Tous les chefs nationalistes du Québec, en commençant par René Lévesque, sont tombés dans le piège référendaire tendu par les conseillers de Pierre Trudeau.

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Notre fête nationale

Ne pouvoir vivre comme nous sommes, convenablement, dans notre langue, à notre façon, ça nous ferait le même effet que de nous faire arracher un membre, pour ne pas dire le coeur. A moins que nous n’y consentions peu à peu, dans un déclin comme celui d’un homme que l’anémie pernicieuse amène à se détacher de la vie. De cela, encore une fois, seuls les déracinés par­viennent à ne pas se rendre compte.
– René Lévesque

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Les 68 ans de la conférence de Bandung

les pays occidentaux de l’Alliance atlantique, dont le Canada fait partie, s’étaient déjà fait demander poliment de balayer devant leur porte. Mais les pays anglo-saxons, et leurs obligés, résistent mal à la tentation de donner des leçons aux autres.

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Au fond des choses

Pour un fédéralisme des nations au Canada

Le 5 février 1968, il y a 55 ans, Daniel Johnson prenait la parole devant tous les représentants du Canada anglais réunis. Il prononçait sans doute le discours le plus important de sa carrière d’homme d’État, un discours remarquable et percutant. Il plaidait un projet de réforme des institutions qui ne sera jamais repris avec la même hauteur par les premiers ministres du Québec qui suivront. Johnson incarnait alors une doctrine politique élaborée par les Canadiens-Français au cours des décennies précédentes, elle avait atteint le stade de sa maturité. Il parlait à l’occasion d’une conférence constitutionnelle qu’il avait lui-même réclamée.

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La Loi 99 élucidée et l’avenir des Canadiens-Français

La Fédération des Canadiens-Français revient sur la loi 99 (2000) Ceux qui suivent la Fédération des Canadiens-Français savent que nous avons proposé un amendement à la loi 99 à l’occasion du vingtième anniversaire de son adoption, le 7 décembre 2020, il y a deux ans. À cette occasion, nous avons

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François-Albert Angers

Pour certains, le déclin du souverainisme arrive avec le référendum de 1995. Pour d’autres, il commence beaucoup plus tôt. Nous tâcherons d’échapper à la «déformation de notre culture politique» pour «analyser de manière lucide les phases les plus douloureuses» de notre propre histoire récente.

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Pour un fédéralisme des nations au Canada

Le 5 février 1968, il y a 55 ans, Daniel Johnson prenait la parole devant tous les représentants du Canada anglais réunis. Il prononçait sans doute le discours le plus important de sa carrière d’homme d’État, un discours remarquable et percutant. Il plaidait un projet de réforme des institutions qui ne sera jamais repris avec la même hauteur par les premiers ministres du Québec qui suivront. Johnson incarnait alors une doctrine politique élaborée par les Canadiens-Français au cours des décennies précédentes, elle avait atteint le stade de sa maturité. Il parlait à l’occasion d’une conférence constitutionnelle qu’il avait lui-même réclamée.

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La Loi 99 élucidée et l’avenir des Canadiens-Français

La Fédération des Canadiens-Français revient sur la loi 99 (2000) Ceux qui suivent la Fédération des Canadiens-Français savent que nous avons proposé un amendement à la loi 99 à l’occasion du vingtième anniversaire de son adoption, le 7 décembre 2020, il y a deux ans. À cette occasion, nous avons

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François-Albert Angers

Pour certains, le déclin du souverainisme arrive avec le référendum de 1995. Pour d’autres, il commence beaucoup plus tôt. Nous tâcherons d’échapper à la «déformation de notre culture politique» pour «analyser de manière lucide les phases les plus douloureuses» de notre propre histoire récente.

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Liste de lecture

Résumé

Entrevue de Jean-Claude Dupuis sur Maurice Duplessis par Louis Champagne de CKAJ – 23 aout 2016

Nouveau !

Sources de textes primaires ou essentiels sur la question nationale et constitutionnelle au Canada

Éphémérides du 30 novembre
  • L'Avent, débutant le dimanche le plus près du 30 novembre, est dans la liturgie des Églises chrétiennes d’Occident la période servant à la préparation de Noël alors qu’est célébrée la Nativité, la venue de Jésus, le retour de la Lumière. Il se célèbre avec plus de solennité à partir du 17 décembre. La période de l'Avent débutait autrefois le 11 novembre, fête de St-Martin.
  • Aujourd’hui en 1696 - D'Iberville s'empare du fort King William. Cent soixante colons et soldats postés au fort King William à Saint Jean de Terre-Neuve rendent leurs armes à une force de siège de 400 Français commandée par d'Iberville. Les Français capturent 120 bateaux et plus de 100,000 livres de morue, ce qui fait de cette expédition contre Terre-Neuve, un véritable succès militaire et financier.
  • Aujourd’hui en 1822 - La Banque de Montréal obtient sa charte du gouvernement du Bas-Canada. Sa première succursale se trouve sur la rue Saint-Paul à Montréal. Société par actions à responsabilité limitée, elle compte 289 associés au moment de sa fondation. Austin Cuvillier, George Moffatt, John Richardson et James Leslie font notamment partie des premiers fondateurs.
  • Aujourd’hui en 1835 - Naissance de Samuel Clemens, qui deviendra l'écrivain Mark Twain. Orphelin de père à 12 ans, il sera d'abord typographe puis rédacteur au journal de son frère avant de devenir pilote de bateau à vapeur sur le Mississippi. Fuyant la guerre civile, il deviendra chercheur d'or dans le Nevada puis reporter en 1864 pour un journal de San Francisco, ce qui l'amènera à voyager de part le monde. Ses romans humoristiques Les Aventures de Tom Sawyer (1876) et Les Aventures de Huckleberry Finn (1885) le rendent célèbre. Il nota sur son passage à Montréal “qu'il y était difficile de lancer une pierre sans casser un vitrail.”
  • Aujourd’hui en 1837 - Les Patriotes se retranchent à Saint Eustache, où ils seront attaqués le 14 décembre par le général John Colborne à la tête de 1,300 hommes. Leur chef Chénier abattu, les derniers résistants retranchés dans l’église devront sauter de ses fenêtres pour échapper à l’incendie allumé par la troupe. On compte 70 morts, 15 blessés et 120 prisonniers chez les rebelles, un mort et huit blessés chez les Anglais. Les volontaires loyalistes brûlent 65 des 150 maisons du village et se livrent au pillage.
  • Aujourd’hui en 1847 - Modeste Demers nommé le premier évêque de Vancouver. Né en 1809 à Saint Nicolas-de-Lévis, il arrive en Nouvelle-Calédonie en 1838, deux ans après avoir été ordonné prêtre. Il accompagne alors l’abbé François-Norbert Blanchet qui se rendait auprès des populations catholiques de l’Oregon. Demers est nommé évêque de l’île de Vancouver et administrateur du diocèse des îles de la Princesse-Charlotte et de la Nouvelle-Calédonie. Les Canadiens français forment alors 60% de la population de souche européenne en Colombie-Britannique.
  • Aujourd’hui en 1907 - Premières élections de la Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste (FNSJB), issue de la section des Dames patronnesses de l'Association Saint-Jean-Baptiste fondée en 1902 et créée sous la direction de Caroline Béïque et Marie Gérin-Lajoie . La plupart de ses membres proviennent de milieux bourgeois et certaines s'impliquent déjà pour la défense des droits juridiques et politiques des femmes avec le Montreal Local Council of Women, alors que d'autres sont actives dans les oeuvres de charité.
  • Aujourd’hui en 1907 - Création du Refuge des petits malades sur la rue Saint-Denis à Montréal à l’initiative de Justine Lacoste-de-Gaspé-Beaubien. Irma Levasseur, l'évêque de Montréal, Mgr Paul Bruchési , et la Fédération Nationale Saint-Jean-Baptiste collaborent à la fondation de cet hôpital d'abord confié aux Filles de la Sagesse. La mortalité infantile est endémique à l’époque. À Montréal, près d'un enfant sur trois n'atteint même pas l'âge d'un an. Le Refuge prendra le nom d'hôpital Sainte-Justine à son incorporation le 25 avril suivant.
  • Aujourd’hui en 1954 - Première présentation du téléroman «Le Survenant» neuf ans après la publication du roman du même nom de Germaine Guèvremont. L'intrigue se déroule au tournant du siècle, dans le petit village du Chenal-du-Moine où débarque un étranger. Le personnage du Survenant, interprété par Jean Coutu, s'imposera rapidement comme un des plus populaires de la télévision québécoise. Radio-Canada présentera 138 épisodes de la série entre 1954 et 1960.
  • Aujourd’hui en 1971 - Paul Rose est condamné à la détention perpétuelle pour l'enlèvement de Pierre Laporte en octobre 1970. La sentence doit être purgée concurremment à celle de détention à vie qui lui a déjà été imposée pour le meurtre du ministre. Jugé comme prisonnier politique, il sera incarcéré pendant 12 ans. En 1998, Paul Rose, docteur en sociologie et syndicaliste actif, devient chef du Parti de la démocratie socialiste du Québec.
  • Aujourd’hui en 1972 - Le vénérable Oratoire Saint-Joseph vibre aux accents du rock, alors que le groupe Offenbach y enregistre une Messe des morts en rock and roll et en latin intitulée “St-Chrone de Néant”, une prestation qui ne manquera pas de soulever l’indignation dans les milieux conservateurs. La messe y sera reprise presque trente ans plus tard, le 10 février 2002, sans cette fois ne soulever aucune indignation.
  • Aujourd’hui en 1987 - Vito Rizzuto, le fils du Parrain de la mafia canadienne, est arrêté à Montréal. Il sera accusé d'avoir été le cerveau d’un complot d'importation de $225 millions de drogue mis au jour avec la saisie de 15 tonnes de haschisch la veille à Terre-Neuve. Ce serait le plus dur coup porté au crime organisé en dix ans, mais il bénéficiera d'un acquittement dans ce dossier.
  • Aujourd’hui en 2006 - Le pape se rapproche des orthodoxes. Au troisième jour de son voyage en Turquie Benoît XVI a assisté à Istanbul à une messe célébrée par le patriarche Bartholomée Ier, le représentant spirituel de 300 millions de chrétiens orthodoxes, sans toutefois participer à la célébration en raison de divergences théologiques entre catholiques et orthodoxes. Le pape a fait de la réconciliation avec les orthodoxes une priorité de son pontificat et l'objectif principal de son voyage de quatre jours en Turquie. Selon lui, les divisions au sein des chrétiens sont un «scandale pour le monde».
  • Aujourd’hui en 1940 - Naissance à Romilly sur Seine en France de Pierre Foglia, journaliste d’opinion. Considéré comme le chroniqueur le plus connu des quotidiens du Québec, ses chroniques sont publiées de 1972 à 2015 dans le quotidien montréalais La Presse. Diplômé en typographie en 1956, il fait son service militaire en Algérie puis se rend à 18 ans en Californie et fait la connaissance d’une jeune fille de St-Jean sur Richelieu au Québec, où le couple s’installera et aura deux enfants.
  • Aujourd’hui en 2014 - Décès à Montréal à 92 ans de Muriel Millard, ex-reine du music-hall québécois qui a animé les folles soirées des cabarets. Un public plus âgé n'oubliera jamais ses descentes d'escalier comme meneuse de revues dans des robes à paillettes éblouissantes, tout en panache. Elle est née à Montréal en 1922, fille d’un surintendant au port de Montréal père de sept enfants. Très jeune, elle participait à des concours de chant amateurs et les remportait. Sa carrière était déjà toute tracée.

Manifeste pour une politique d’immigration responsable présenté par Alexandre-Cormier Denis à la Commission des relations avec les citoyens de l’Assemblée nationale du Québec.

Un peuple de fondateurs

  • Le 30 juillet 1609, à l’emplacement du futur fort Carillon, Champlain d’un coup d’arquebuse sème la déroute dans une troupe d’Iroquois venus confronter son détachement.

 

  • Bataille de la Monongahela. En avril 1755, les troupes de de Beaujeu renforcées de miliciens et de guerriers amérindiens tendent un embuscades aux troupes de Braddock venu tenter de reprendre le fort Duquesne. De Beaujeu y perd la vie mais les Britanniques sont décimés par les tirs précis des miliciens et de leurs alliés. Braddock mort, c’est la déroute. Un jeune colonel de 23 ans nommé George Washington organise la retraite.

 

  • La bataille du fort Carillon, au sud du lac Champlain, où le 8 juillet 1758 Montcalm avec 3,500 hommes vainquit l’armée d’Abercrombie forte de 15,000 soldats.

 

  • Bataille de Sainte-Foy
    Le 28 avril 1760, Vaudreuil et Lévis venus de Montréal avec des troupes régulières, des miliciens et des guerriers amérindiens défont les soldats de Murray à Ste-Foy et amorcent le siège de Québec.

 

  • Bataille de St-Denis sur  Richelieu. Le 23 novembre 1837, les 200 miliciens dirigés par Wolfred Nelson mettent en déroute le  détachement de 300 soldats venus arrêter le chef des Patriotes Louis-Joseph Papineau sous la direction de Charles Gore.

  • Bataille du Moulin de Lacolle.
    Le 20 novembre 1812, Charles de Salaberry, à la tête de 530 hommes, profitant de la confusion créée par ses alliés amérindiens chez les 1,100 hommes du général Dearborn qui venaient d’occuper le fortin de Lacolle, met en déroute la force d’invasion américaine.

  • Libération de Zwolle en Hollande
    Dans la nuit du 14 avril 1945, Léo Major libère à lui seul le village de Zwolle. Son camarade éclaireur Patenaude abattu, Major poursuit sa mission, capturant des soldats ennemis patrouille après position et fait fuir le reste en les avertissant du pilonnage d’artillerie qui s’en vient à l’aube. Il recevra la Distinguished Service Medal pour ce remarquable fait d’arme.

  • Défense de la Colline 355 en Corée.
    Le 23 novembre 1951, le second bataillon du  Royal 22e Régiment conserve sa position sur le flanc de la colline, résistant au barrage d’artillerie et repoussant sept attaques des Chinois jusqu’à l’arrivée des renforts américains. Cette position à 40 km de la capitale de Corée du Sud Séoul est l’une des plus stratégiques du front. Le lieutenant Mario Côté commandant la position se distingue particulièrement lors de ces affrontements. Six autres de ses camarades seront aussi décorés, dont le major Réal Liboiron, commandant de la Compagnie D, et le caporal Léo Major qui commandait lui aussi une position au flanc de la colline. Major sera le seul soldat canadien à recevoir deux fois la DSM.
  • Né à Québec, Alain Grandbois – La vie d’un de nos plus grands explorateurs, Louis Jolliet qui, avec le Père Marquette, en 1673, ‘’découvre » le Mississippi.
  • Les anciens Canadiens, Philippe Aubert de Gaspé – La guerre de la Conquête divise deux étudiants du Petit Séminaire de Québec, l’un canadien-français, l’autre écossais.
  • L’Appel de la race, Lionel Groulx – La loi fédérale sur l’abolition de l’enseignement en français en Ontario provoque une crise entre un député canadiens-français et son épouse anglaise.
  •  Le Roi de la Côte Nord, Yves Thériault – La vie extraordinaire de Napoléon-Alexandre Comeau, qui a vécu de 1848 à 1923. Un héros local aimé de tous, médecin autodidacte, fin connaisseur des langues indiennes, chasseur, pêcheur, aventurier, etc.
  •  Agaguk,Yves Thériault – Pour comprendre la mentalité ancestrale et les problèmes actuels des Inuits. L’action se déroule vers 1940, un peu avant l’arrivée massive des blancs dans le nord. Les habitants ont franchi 10,000 ans d’histoire en une génération.
  • Georges Farah Lajoie, le détective venu d’Orient, Yves Messier – L’histoire vécue de ce libanais, qui émigra vers 1920 à Montréal et devint le premier policier scientifique. Pour s’intégrer, il ajoute Lajoie à son nom qui est la traduction française de Farah. Il marie une québécoise et ils auront de nombreux enfants. Il est chargé d’enquêter dans les affaires de meurtres les plus louches de l’époque.

Le choix des membres

  • La grande Marie ou le luxe de sainteté, Carl Bergeron
  • Voir le monde avec un chapeau, Carl Bergeron
  • L’apostasie tranquille au Québec, Gilles Dandurand,
  • Histoire des deux nationalismes au Canada, Maurice Séguin
  • Trente arpents, Ringuet,
    La vraie campagne avant qu’elle ne s’évapore dans l’américanité.
  • Histoire du Canada, Lionel Groulx
  • Dossier sur le pacte fédératif  La Confédération : pacte ou loi ? R. Arès, S.J., 1967
  • Les Plouffe, Roger Lemelin
  • Égalité ou indépendance, Daniel Johnson
  • Jos connaissant, Victor Lévy-Beaulieu
  • Jean Rivard, défricheur (suivi de Jean Rivard, économiste), Antoine Gérin-Lajoie
  • Iberville le Conquérant, Guy Frégault
  • 2015 – Un premier contrat est signé en Corée du Sud, avec l’église presbytérienne Saemoonan de Séoul. L’installation de l’orgue (opus 3906, quatre claviers, 63 jeux) est complétée en 2019.
  • 2014 – Un orgue neuf (opus 3905, trois claviers, 31 jeux) est installé à la Cathédrale historique du Nord « Bei Tang » de Beijing, Chine.
  • 2013 – Des orgues neufs à traction mécanique (avec console attachée à l’orgue et une deuxième console mobile sur la scène) sont installés dans deux nouvelles salles de concert au Québec,
    La Maison symphonique de Montréal (opus 3900, quatre claviers, 83 jeux) et au
    Palais Montcalm de Québec (opus 3896, trois claviers, 37 jeux).
  • 1976 – Casavant installe le plus grand orgue (opus 3312, cinq claviers, 123 jeux) de son histoire à la Basilique Santa Maria de Guadelupe de Mexico City.
  • 1961 – Casavant installe son première orgue moderne à traction mécanique (opus 2698, deux claviers, 14 jeux) à l’église Notre-Dame-de-l’Assomption de Saint-Hyacinthe, Québec, Canada.
    Un leader du mouvement de réforme de l’orgue en Amérique du Nord, Casavant a construit plus de 200 orgues à traction mécanique depuis le début des années 1960.
  • 1927 – Casavant installe un orgue à Salisbury, Rhodésie (aujourd’hui Harare, Zimbabwe) (opus 1220, deux claviers, 18 jeux). Cet orgue est toujours utilisé et il a été restauré récemment.
  • 1927 – Casavant installe un premier orgue au Japon, à l’église Holy Trinity de Tokyo (opus 1208, deux claviers, 18 jeux). Cet orgue sera détruit pendant la Seconde Guerre mondiale.
  • 1891 – Casavant installe un premier orgue de quatre claviers (opus 26, 82 jeux) à la Basilique Notre-Dame de Montréal, qui comprend notamment un clavier principal de 32 pieds en montre et un système électropneumatique de combinaisons ajustables. Cet instrument est à l’époque le deuxième plus important orgue en Amérique du Nord. C’est cet instrument, que les frères Casavant surnommaient leur « morceau de roi », qui a établi la réputation internationale de Casavant Frères. Cet orgue a été inauguré par Frederick Archer en mai 1891.
  • 1885 – Casavant installe un premier orgue de trois claviers à la Cathédrale de Saint-Hyacinthe (opus 8, 38 jeux). Premier exemple d’utilisation de machines Barker (assistance pneumatique) chez Casavant.
  • 1880 – Installation du premier orgue construit par Casavant Frères à la chapelle Notre-Dame-de-Lourdes de Montréal (opus 1, deux claviers, 13 jeux). Reconstruit en 1909, cet instrument est encore utilisé aujourd’hui. Ce premier orgue comprend notamment deux combinaisons ajustables.

 

Pour informations supplémentaires, voir https://www.casavant.ca/histoire/

  • Caisse populaire de Lévis, fondée le 6 décembre 1900, naissance du Mouvement Desjardins
  • Caisse populaire St-Joseph de Lévis, fondée le 28 juillet 1902
    Devant l’absence d’une loi encadrant les caisses populaires, Alphonse Desjardins reste prudent et fonde seulement trois autres caisses à proximité de son lieu de résidence et de travail, c’est-à-dire Lévis et Ottawa.
  • Caisse populaire de Hull, fondée le 1er septembre 1903 (interruption des activités en 1907).
    Cette caisse, comme près d’une cinquantaine d’autres fondées à l’époque d’Alphonse Desjardins, a fermé ses portes avant sa mort en 1920.
  • Caisse populaire St-Malo, Québec, fondée le 4 janvier 1905.
  • Caisse populaire de Paquetteville (Dixville), fondée le 22 septembre 1907.
    Il s’agit de la première caisse fondée après l’adoption d’une loi encadrant les caisses par l’Assemblée législative du Québec. Il s’agit également de la première caisse en milieu rural.
  • Caisse populaire de Saint-Bonaventure, fondée le 1er novembre 1907 (interruption des activités avant 1913).
  • Caisse populaire de Saint-Isidore, fondée le 27 décembre 1907.
  • Caisse populaire de Contrecoeur, fondée le 16 février 1908 (interruption des activités avant 1916).
  • Caisse populaire de Nominingue, fondée le  22 mars 1908 (interruption des activités avant 1916).
  • Caisse populaire de Québec, fondée le 29 avril 1908.
  • Caisse populaire de Beauport, fondée le  3 mai 1908 (interruption des activités vers 1921).
  • Caisse populaire de St-Grégoire du Sault, Montréal, fondée le  3 mai 1908 (interruption des activités en 1919).
  • Caisse populaire de Montréal, fondée le  1er juin 1908 (interruption des activités avant 1912).
  • Caisse populaire de Maria, fondée le  13 septembre 1908.
  • Caisse populaire de Rimouski, fondée le  17 septembre 1908.
  •  
Au total, Alphonse Desjardins participe à la fondation de 136 caisses populaires au Québec, 18 en Ontario et 9 aux États-Unis.

Nos remerciements à Pierre-Olivier Maheux, historien à la Société Desjardins.

Il découvre et connaît ses racines : 

  • Il est monté voir l' »Athènes des Draveurs » de Félix-Antoine Savard
  •  Il a lu la biographie ‘Né à Québec’, d’un des plus grands de nos ancêtres, du plus grand découvreur, Louis Joliet, écrite par un grand romancier, Alain Grandbois, pour mieux comprendre le ‘’Je suis né d’une race fière’’ de NOTRE hymne national, le ‘’O Canada’’ volé par les Anglais.

 

Il chérit et cultive sa langue :

  • Il donne de beaux prénoms français à ses enfants
  • Il n’utilise pas d’anglicismes comme « cool », « too much », « whatever » ou le hideux « flabergasté »…
  • Il écoute les belles chansons du Québec et de France

 

Il pratique le nationalisme économique : 

  • Puisque l’argent est le nerf de la guerre, il utilise comme banque la Caisse Desjardins ou la Banque nationale
  • Il fait son épicerie dans un magasin indépendant ou une chaîne québécoise comme Metro et mange des produits québécois, comme nos excellents fromages
  • Il ne boit son café ou ne mange de la malbouffe que dans des restos appartenant à des Québécois et non à des chaînes américaines
  • Il choisit une compagnie québécoise comme Vidéotron pour ses besoins de communication, et non Bell ou Rogers
  • Il achète ses meubles d’un magasin québécois
  • Il répare sa maison en se procurant les matériaux chez RONA, Marcil, Patrick Morin…
  • Il effectue au moins un voyage par année au Québec, avant d’aller dans le Sud
  • Il a fait au moins une fois dans sa vie le tour du Rocher Percé