Dernières parutions

Le Perdant, de Martin Bisaillon

Avec Le Perdant, Martin Bisaillon est celui qui prit le taureau par les cornes et finalement déboulonna le « libérateur de peuple », comme avait qualifié Lévesque à son décès le bon mais naïf Félix Lerclerc. Dans cet ouvrage d’autant plus éclairant qu’il est concis, Bisaillon documente avec force références un récit clair du leg politique consternant de René Lévesque, ce qui fait du Perdant une lecture obligée autant pour ceux qui ont vécu de près ou de loin les événements que pour les plus jeunes, qui doivent savoir.

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Des origines fédérales du référendum

Nous savons tous que le référendum a été soufflé à l’oreille de Claude Morin par trois membres éminents de l’équipe de négociations constitutionnelles de Trudeau. Morin qui avait ses interlocuteurs en haute estime retiendra leurs conseils référendaires «des plus démystifiants.»

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Dostaler O’leary

L’on peut constater un remarquable parallèle avec notre époque dans cet article – présenté par la Fédération des Québécois de souche en 2021 et accessible dans ses archives publiées sur le web – qu’il écrivit en 1938 pour le périodique français anti-communiste Je suis partout. On ne peut que constater qu’aujourd’hui, les nations, dont la nôtre sans souveraineté, sont aux prises avec les mêmes forces qu’à la veille de la Seconde Guerre mondiale.

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Acte de Québec de 1774

Quiconque veut interpréter notre histoire, étudier nos réussites et nos échecs, comprendre les particularités de notre système de valeurs, pourra observer un peu partout les ressorts d’un peuple intimement marqué par les lignes de force qui habitaient et guidaient les esprits entre 1660 et 1680 : l’ordre, la rationalité, le respect de la tradition et des anciens.

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Le référendum fête ses 50 ans

Le référendum a cinquante ans cette année (1974-2024). Cinquante ans, ça se fête, mais qui s’attend à des célébrations ? Que reste-t-il aujourd’hui de cette stratégie autrefois innovante? Toujours au programme du PQ, jamais révisée sérieusement, ratée par deux fois, aucun événement n’a autant divisé le Québec que les référendums de 1980 et de 1995.

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Forum des partisans de la lutte contre les pratiques contemporaines du néocolonialisme – Pour une participation d’acteurs non gouvernementaux du Canada français

La sous-estimation des appuis internationaux que doit se donner un peuple pour se libérer vient d’une doctrine politique qui occulte le recours constant à la force et à la duperie des Anglo-saxons dans l’aménagement de leurs rapports avec les Canadiens-Français et les Acadiens. Chez René Lévesque et ses successeurs, on a la conviction que la relation entre les Canadiens-Français (pour lui, les Québécois) et le Canada anglais est un litige entre partenaires. Les ambitions souverainistes sont de stricte politique intérieure, l’inégalité entre les « partenaires » est du reste rarement soulignée. 

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Johnson et la tentative de refonte constitutionnelle en 1968

En 1968, Johnson incarnait la tradition constitutionnelle canadienne-française dans son expression la plus achevée. Se succèdent cinquante-six ans d’un affaiblissement que rien ne laissait présager. Dans les pages qui suivent, je vais tenter par un retour sur certains événements clés de rendre plus claires les causes mal comprises du déclin national. Je finirai en me demandant avec vous s’il est encore possible de faire quelque chose pour remonter la pente.

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Le référendum a cinquante ans cette année (1974-2024). Cinquante ans, ça se fête, mais qui s’attend à des célébrations ? Que reste-t-il aujourd’hui de cette stratégie autrefois innovante? Toujours au programme du PQ, jamais révisée sérieusement, ratée par deux fois, aucun événement n’a autant divisé le Québec que les référendums de 1980 et de 1995.

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En 1968, Johnson incarnait la tradition constitutionnelle canadienne-française dans son expression la plus achevée. Se succèdent cinquante-six ans d’un affaiblissement que rien ne laissait présager. Dans les pages qui suivent, je vais tenter par un retour sur certains événements clés de rendre plus claires les causes mal comprises du déclin national. Je finirai en me demandant avec vous s’il est encore possible de faire quelque chose pour remonter la pente.

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Au fond des choses

La synergie politique entre Trudeau et Lévesque et la disparition des Canadiens-Français (1968-2024)

Comment se fait-il que dans le même temps où l’on se battait le mieux pour un avenir enraciné, d’autres aient insisté pour que l’on renonce à l’identité canadienne-française ? C’est une étrange contradiction et, en regard de l’évolution du statut national, elle reste assez opaque encore aujourd’hui. On a bien dit que seule l’identité québécoise avait de l’avenir. Du coup, fallait-il effacer un passé canadien-français révolu ?

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Organisation du peuple canadien-français en Amérique d’après Alexandre Cormier-Denis

Alexandre Cormier-Denis a déposé en septembre un mémoire au Comité consultatif sur les enjeux constitutionnels du Québec au sein de la Fédération canadienne dont notre contributeur Gilles Verrier a trouvé opportun de livrer ici un synopsis critique. Ce mémoire intitulé Manifeste pour une reconnaissance du Québec comme État-nation du peuple canadiens-français est accessible, comme tous les autres mémoires déposés, sur le site web du Comité.

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La Grande Paix de 1701

À la veille du 323e anniversaire, le 4 août prochain, de la signature de ce traité historique, la Fédération des Canadiens-Français estime que cet événement n’est pas commémoré à la hauteur et avec la clarté qu’il mérite. Laissé dans un ombre relatif, sous-évalué ou mal compris, nous avons demandé à trois auteurs de nous éclairer.

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Pour un fédéralisme des nations au Canada

Le 5 février 1968, il y a 55 ans, Daniel Johnson prenait la parole devant tous les représentants du Canada anglais réunis. Il prononçait sans doute le discours le plus important de sa carrière d’homme d’État, un discours remarquable et percutant. Il plaidait un projet de réforme des institutions qui ne sera jamais repris avec la même hauteur par les premiers ministres du Québec qui suivront. Johnson incarnait alors une doctrine politique élaborée par les Canadiens-Français au cours des décennies précédentes, elle avait atteint le stade de sa maturité. Il parlait à l’occasion d’une conférence constitutionnelle qu’il avait lui-même réclamée.

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La Loi 99 élucidée et l’avenir des Canadiens-Français

La Fédération des Canadiens-Français revient sur la loi 99 (2000) Ceux qui suivent la Fédération des Canadiens-Français savent que nous avons proposé un amendement à la loi 99 à l’occasion du vingtième anniversaire de son adoption, le 7 décembre 2020, il y a deux ans. À cette occasion, nous avons

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Éphémérides du 13 Décembre
  • Ce jour en 1545 - Début du concile de Trente, 19e concile œcuménique reconnu par l’Église, qui tient finalement sa première session après d’incessantes difficultés. En sept sessions, la dernière ayant lieu le 13 mars 1547, les pères s'adresseront avec vigueur aux questions les plus importantes de la foi et de la discipline. Ce concile a été convoqué par le pape Paul III en 1542 en réponse aux demandes formulées par Martin Luther dans le cadre de la Réforme protestante. Il se déroulera sur 18 ans, sur 25 sessions, quatre pontificats et trois villes.
  • Ce jour en 1577 - Soutenu par la Reine Elizabeth l d'Angleterre, Francis Drake part de Plymouth avec cinq navires pour trouver la route de l’ouest vers les Indes et faire le tour du monde. Il devra abandonner en Amérique deux de ses navires endommagés durant la traversée de l’Atlantique, puis procédera vers le sud, franchira le détroit de Magellan et débouchera dans le Pacifique où il perdra un autre bateau dans une tempête, le quatrième décidant de rebrousser chemin. C'est donc avec un seul bateau qu'il poursuivra sa route, arrivant à son point de départ trois ans plus tard le 26 septembre 1580.
  • Ce jour en 1898 - Premier train de passagers à passer sur le pont Victoria reconstruit. Suite à un incendie, le tube le constituant a été remplacé par un tablier à poutres en treillis, créant ainsi le « Victoria Jubilee Bridge ». Lors de ces travaux, les poutres furent construites autour du tube, puis on procéda au démontage de celui-ci. Ainsi la circulation ne fut pas interrompue.
  • Ce jour en 1937 - Prise de Nankin par les troupes japonaises. Pendant six semaines elles y massacreront 200,000 Chinois, en majorité des civils, sous les yeux de nombreux occidentaux, dont l'Allemand John Rabe, le révérend John Magee, George Fitch, Robert Wilson (seul chirurgien resté à Nankin durant le massacre), et la missionnaire Minnie Vautrin dont les mémoires personnels seront publiés.
  • Ce jour en 1945 - Naissance à Rouyn de la journaliste Lise Bissonnette. Elle sera directrice du quotidien Le Devoir de 1990 à 1998, puis nommée en 2001 à la barre de la Grande Bibliothèque du Québec, qui durant son terme fusionnera avec la Bibliothèque nationale du Québec, la Bibliothèque centrale de Montréal et les Archives nationales du Québec pour former la Bibliothèque et Archives nationales du Québec, qu'elle a quittera après onze ans passées à sa tête.
  • Ce jour en 1968 - Explosion de deux bombes à Westmount ciblant les résidences de Percy Fox, un des directeurs de la Domtar, et de Charles Hershon, le propriétaire et président de la Murray Hill. Les bombes, qui causent des dommages matériels, n'occasionnent toutefois aucune blessure. Depuis octobre, on assiste à une recrudescence des actes terroristes à Montréal.
  • Ce jour en 1971 - L’écrivain Pierre Vallières, en clandestinité depuis le 9 septembre, annonce sa rupture avec le Front de libération du Québec (FLQ). Il préconise l’usage de moyens démocratiques dans la lutte des «travailleurs québécois». Certaines cellules du FLQ feront valoir publiquement leur accord avec l’autocritique de Vallières, qui expliquera sa décision en détail dans un ouvrage intitulé L’urgence de choisir.
  • Ce jour en 1974 - Annonce de l'acquisition de l'île d'Anticosti par le gouvernement du Québec, qui l'a exproprié pour $23 millions versés à la compagnie Consolidated Bathurst, qui, alors nommée la Wayagamack Pulp and Paper Company, l'avait elle-même achetée des Menier en 1926. Le gouvernement prévoit procéder à l'aménagement de ce vaste territoire long de 225 kilomètres et large de 56, devenu une remarquable réserve faunique à la suite des interventions de Henri Menier au début du XXe siècle.
  • Ce jour en 1979 - La Cour suprême et la Loi 101. Les neuf juges de la Cour suprême du Canada statuent que le Québec n'avait pas le droit de déclarer le Français seule langue officielle devant les tribunaux et à l'Assemblée nationale. Toutes les lois adoptées par l'Assemblée nationale depuis la proclamation de la Loi 101 le 26 août 1977 sont donc remises en cause, et le gouvernement devra immédiatement corriger la situation pour éviter la confusion.
  • Ce jour en 1983 - La pire tempête de verglas depuis 22 ans frappe le sud du Québec. Les lignes électriques s'effondrent sous le poids de la glace, privant d'électricité 500,000 abonnés montréalais pendant 36 heures et plus. Un déluge de 67 mm couvre le sol de neige fondante, de glace et d'eau. Elle pâlira devant celle de février 1998.
  • Ce jour en 1984 - Première Opération Nez rouge. Jean-Marie De Koninck, professeur et entraîneur de l'équipe de natation de l'Université Laval, lui donne naissance en recrutant des bénévoles durant les semaines précédant Noël pour reconduire dans leur propre véhicule les automobilistes qui ont pris un verre de trop. Avec la collaboration du Service de police de la Ville de Québec et de la station de radio CHRC, la première Opération Nez rouge se déroule du 13 au 23 décembre 1984.
  • Ce jour en 1991 - La MIUF: tout le monde y perd. Au terme d'un longs procès, le juge René Hurtubise de la Cour supérieure du Québec conclut que la preuve n'a pas été faite que la mousse isolante d'urée-formaldéhyde a provoqué des troubles de santé, augmenté les risques de cancer et détérioré les maisons. Encouragés par des programmes de subventions gouvernementales, 42,000 Québécois avaient insufflé la mousse isolante dans les murs extérieurs de leur maison entre 1977 et 1979. En décembre 1980, Ottawa interdisait l'utilisation du produit.
  • Ce jour en 1993 - Kim Campbell fait l'histoire du pays pour la troisième fois dans une même année ; après avoir été la première femme Premier ministre du Canada et avoir mené le Parti conservateur à sa pire défaite, elle devient son chef le plus éphémère, remettant sa démission après avoir été Première ministre pendant un peu plus de 19 semaines ; son mandat à la tête du PC aura duré six mois et une semaine.
  • Ce jour en 1993 - Le ministre des Forêts, Albert Côté, annonce que le bouleau jaune (Betula Alleghaniensis Britton), a été choisi comme l'arbre emblématique du Québec. Le ministre souligne que cet arbre, familièrement appelé merisier, est représentatif du milieu forestier québécois et se distingue par sa rusticité et l'activité économique qu'il suscite. Le Québec est aussi l'un des endroits au monde où l'on retrouve le plus de bouleaux jaunes.
  • Ce jour en 1993 - Jean Allaire annonce la création du Parti Action-Québec, dont il sera le chef ; l'avocat de 63 ans précise que la nouvelle formation sera confédérationniste, c'est-à-dire qu'elle prônera l'adhésion du Québec à un nouveau partenariat avec le reste du pays. Le parti deviendra plus tard l'Action démocratique du Québec.
  • Ce jour en 2011 - François Legault et Gérard Deltell confirment la fusion CAQ-ADQ, qui sera soumise à l'approbation des membres de l'ADQ par la voie d'un vote postal en janvier. Deltell, qui deviendra chef parlementaire de la CAQ, a donné des précisions sur le contenu de l'entente de principe qui a été entérinée par les membres de l'exécutif de l'ADQ. «Nos idées continuent de vivre», a-t-il fait valoir.

Entrevue de Philippe Plamondon de Nomos-TV avec Jean-Claude Pomerleau qui nous explique comment le mythe de la Grande Noirceur créé par les Libéraux leur a permis de s'approprier la Révolution tranquille déjà en cours.

Un peuple de fondateurs

  • Le 30 juillet 1609, à l’emplacement du futur fort Carillon, Champlain d’un coup d’arquebuse sème la déroute dans une troupe d’Iroquois venus confronter son détachement.

  • Bataille de la Monongahela. En avril 1755, les troupes de de Beaujeu renforcées de miliciens et de guerriers amérindiens tendent un embuscades aux troupes de Braddock venu tenter de reprendre le fort Duquesne. De Beaujeu y perd la vie mais les Britanniques sont décimés par les tirs précis des miliciens et de leurs alliés. Braddock mort, c’est la déroute. Un jeune colonel de 23 ans nommé George Washington organise la retraite.

  • La bataille du fort Carillon, au sud du lac Champlain, où le 8 juillet 1758 Montcalm avec 3,500 hommes vainquit l’armée d’Abercrombie forte de 15,000 soldats.

  • Bataille de Sainte-Foy
    Le 28 avril 1760, Vaudreuil et Lévis venus de Montréal avec des troupes régulières, des miliciens et des guerriers amérindiens défont les soldats de Murray à Ste-Foy et amorcent le siège de Québec.

  • Bataille de St-Denis sur  Richelieu. Le 23 novembre 1837, les 200 miliciens dirigés par Wolfred Nelson mettent en déroute le  détachement de 300 soldats venus arrêter le chef des Patriotes Louis-Joseph Papineau sous la direction de Charles Gore.

  • Bataille du Moulin de Lacolle.
    Le 20 novembre 1812, Charles de Salaberry, à la tête de 530 hommes, profitant de la confusion créée par ses alliés amérindiens chez les 1,100 hommes du général Dearborn qui venaient d’occuper le fortin de Lacolle, met en déroute la force d’invasion américaine.

  • Bataille de Casa Berardi.

    Lors de la campagne d’Italie à l’automne 1943, le 22e Régiment reçoit l’ordre de prendre la ferme Casa Berardi sur le flanc ouest du ravin d’Ortona. Le 14 décembre 1943, les compagnies C et D soutenues par les chars Sherman de l’Ontario Regiment passent à l’attaque.. Le capitaine Paul Triquet à la tête de la compagnie C avance sous un feu nourri avec ses 50 hommes soutenus par six chars Sherman de l’Ontario Regiment. À 1,500 mètres de la ferme, il a déjà perdu deux chars et vingt hommes. À 14 heures, Triquet et les 14 hommes restants sont à 200 mètres de la ferme. Grâce aux fumigènes lancés par les Shermans, la pognée d’homme atteint les murs de la ferme et en déloge les derniers Allemands à 15h30. Ils résisteront toute la nuit aux contre-attaques allemandes répétées jusqu’à l’arrivée des renforts le lendemain. Pour son leadership lors de cette attaque, Paul Triquet a été décoré de la Victoria Cross des mains du roi Georges VI le 27 mars 1944.

  • Libération de Zwolle en Hollande
    Dans la nuit du 14 avril 1945, Léo Major libère à lui seul le village de Zwolle. Son camarade éclaireur Patenaude abattu, Major poursuit sa mission, capturant des soldats ennemis patrouille après position et fait fuir le reste en les avertissant du pilonnage d’artillerie qui s’en vient à l’aube. Il recevra la Distinguished Service Medal pour ce remarquable fait d’arme.

  • Défense de la Colline 355 en Corée.
    Le 23 novembre 1951, le second bataillon du  Royal 22e Régiment conserve sa position sur le flanc de la colline, résistant au barrage d’artillerie et repoussant sept attaques des Chinois jusqu’à l’arrivée des renforts américains. Cette position à 40 km de la capitale de Corée du Sud Séoul est l’une des plus stratégiques du front. Le lieutenant Mario Côté commandant la position se distingue particulièrement lors de ces affrontements. Six autres de ses camarades seront aussi décorés, dont le major Réal Liboiron, commandant de la Compagnie D, et le caporal Léo Major qui commandait lui aussi une position au flanc de la colline. Major sera le seul soldat canadien à recevoir deux fois la DSM.
  • Né à Québec, Alain Grandbois – La vie d’un de nos plus grands explorateurs, Louis Jolliet qui, avec le Père Marquette, en 1673, ‘’découvre » le Mississippi.
  • Les anciens Canadiens, Philippe Aubert de Gaspé – La guerre de la Conquête divise deux étudiants du Petit Séminaire de Québec, l’un canadien-français, l’autre écossais.
  • L’Appel de la race, Lionel Groulx – La loi fédérale sur l’abolition de l’enseignement en français en Ontario provoque une crise entre un député canadiens-français et son épouse anglaise.
  •  Le Roi de la Côte Nord, Yves Thériault – La vie extraordinaire de Napoléon-Alexandre Comeau, qui a vécu de 1848 à 1923. Un héros local aimé de tous, médecin autodidacte, fin connaisseur des langues indiennes, chasseur, pêcheur, aventurier, etc.
  •  Agaguk,Yves Thériault – Pour comprendre la mentalité ancestrale et les problèmes actuels des Inuits. L’action se déroule vers 1940, un peu avant l’arrivée massive des blancs dans le nord. Les habitants ont franchi 10,000 ans d’histoire en une génération.
  • Georges Farah Lajoie, le détective venu d’Orient, Yves Messier – L’histoire vécue de ce libanais, qui émigra vers 1920 à Montréal et devint le premier policier scientifique. Pour s’intégrer, il ajoute Lajoie à son nom qui est la traduction française de Farah. Il marie une québécoise et ils auront de nombreux enfants. Il est chargé d’enquêter dans les affaires de meurtres les plus louches de l’époque.

Le choix des membres

  • La grande Marie ou le luxe de sainteté, Carl Bergeron
  • Voir le monde avec un chapeau, Carl Bergeron
  • L’apostasie tranquille au Québec, Gilles Dandurand,
  • Histoire des deux nationalismes au Canada, Maurice Séguin
  • Trente arpents, Ringuet,
    La vraie campagne avant qu’elle ne s’évapore dans l’américanité.
  • Histoire du Canada, Lionel Groulx
  • Dossier sur le pacte fédératif  La Confédération : pacte ou loi ? R. Arès, S.J., 1967
  • Les Plouffe, Roger Lemelin
  • Égalité ou indépendance, Daniel Johnson
  • Jos connaissant, Victor Lévy-Beaulieu
  • Jean Rivard, défricheur (suivi de Jean Rivard, économiste), Antoine Gérin-Lajoie
  • Iberville le Conquérant, Guy Frégault
  • 2015 – Un premier contrat est signé en Corée du Sud, avec l’église presbytérienne Saemoonan de Séoul. L’installation de l’orgue (opus 3906, quatre claviers, 63 jeux) est complétée en 2019.
  • 2014 – Un orgue neuf (opus 3905, trois claviers, 31 jeux) est installé à la Cathédrale historique du Nord « Bei Tang » de Beijing, Chine.
  • 2013 – Des orgues neufs à traction mécanique (avec console attachée à l’orgue et une deuxième console mobile sur la scène) sont installés dans deux nouvelles salles de concert au Québec,
    La Maison symphonique de Montréal (opus 3900, quatre claviers, 83 jeux) et au
    Palais Montcalm de Québec (opus 3896, trois claviers, 37 jeux).
  • 1976 – Casavant installe le plus grand orgue (opus 3312, cinq claviers, 123 jeux) de son histoire à la Basilique Santa Maria de Guadelupe de Mexico City.
  • 1961 – Casavant installe son première orgue moderne à traction mécanique (opus 2698, deux claviers, 14 jeux) à l’église Notre-Dame-de-l’Assomption de Saint-Hyacinthe, Québec, Canada.
    Un leader du mouvement de réforme de l’orgue en Amérique du Nord, Casavant a construit plus de 200 orgues à traction mécanique depuis le début des années 1960.
  • 1927 – Casavant installe un orgue à Salisbury, Rhodésie (aujourd’hui Harare, Zimbabwe) (opus 1220, deux claviers, 18 jeux). Cet orgue est toujours utilisé et il a été restauré récemment.
  • 1927 – Casavant installe un premier orgue au Japon, à l’église Holy Trinity de Tokyo (opus 1208, deux claviers, 18 jeux). Cet orgue sera détruit pendant la Seconde Guerre mondiale.
  • 1891 – Casavant installe un premier orgue de quatre claviers (opus 26, 82 jeux) à la Basilique Notre-Dame de Montréal, qui comprend notamment un clavier principal de 32 pieds en montre et un système électropneumatique de combinaisons ajustables. Cet instrument est à l’époque le deuxième plus important orgue en Amérique du Nord. C’est cet instrument, que les frères Casavant surnommaient leur « morceau de roi », qui a établi la réputation internationale de Casavant Frères. Cet orgue a été inauguré par Frederick Archer en mai 1891.
  • 1885 – Casavant installe un premier orgue de trois claviers à la Cathédrale de Saint-Hyacinthe (opus 8, 38 jeux). Premier exemple d’utilisation de machines Barker (assistance pneumatique) chez Casavant.
  • 1880 – Installation du premier orgue construit par Casavant Frères à la chapelle Notre-Dame-de-Lourdes de Montréal (opus 1, deux claviers, 13 jeux). Reconstruit en 1909, cet instrument est encore utilisé aujourd’hui. Ce premier orgue comprend notamment deux combinaisons ajustables.

 

Pour informations supplémentaires, voir https://www.casavant.ca/histoire/

  • Caisse populaire de Lévis, fondée le 6 décembre 1900, naissance du Mouvement Desjardins
  • Caisse populaire St-Joseph de Lévis, fondée le 28 juillet 1902
    Devant l’absence d’une loi encadrant les caisses populaires, Alphonse Desjardins reste prudent et fonde seulement trois autres caisses à proximité de son lieu de résidence et de travail, c’est-à-dire Lévis et Ottawa.
  • Caisse populaire de Hull, fondée le 1er septembre 1903 (interruption des activités en 1907).
    Cette caisse, comme près d’une cinquantaine d’autres fondées à l’époque d’Alphonse Desjardins, a fermé ses portes avant sa mort en 1920.
  • Caisse populaire St-Malo, Québec, fondée le 4 janvier 1905.
  • Caisse populaire de Paquetteville (Dixville), fondée le 22 septembre 1907.
    Il s’agit de la première caisse fondée après l’adoption d’une loi encadrant les caisses par l’Assemblée législative du Québec. Il s’agit également de la première caisse en milieu rural.
  • Caisse populaire de Saint-Bonaventure, fondée le 1er novembre 1907 (interruption des activités avant 1913).
  • Caisse populaire de Saint-Isidore, fondée le 27 décembre 1907.
  • Caisse populaire de Contrecoeur, fondée le 16 février 1908 (interruption des activités avant 1916).
  • Caisse populaire de Nominingue, fondée le  22 mars 1908 (interruption des activités avant 1916).
  • Caisse populaire de Québec, fondée le 29 avril 1908.
  • Caisse populaire de Beauport, fondée le  3 mai 1908 (interruption des activités vers 1921).
  • Caisse populaire de St-Grégoire du Sault, Montréal, fondée le  3 mai 1908 (interruption des activités en 1919).
  • Caisse populaire de Montréal, fondée le  1er juin 1908 (interruption des activités avant 1912).
  • Caisse populaire de Maria, fondée le  13 septembre 1908.
  • Caisse populaire de Rimouski, fondée le  17 septembre 1908.
  •  
Au total, Alphonse Desjardins participe à la fondation de 136 caisses populaires au Québec, 18 en Ontario et 9 aux États-Unis.

Nos remerciements à Pierre-Olivier Maheux, historien à la Société Desjardins.

Il découvre et connaît ses racines : 

  • Il est monté voir l' »Athènes des Draveurs » de Félix-Antoine Savard
  •  Il a lu la biographie ‘Né à Québec’, d’un des plus grands de nos ancêtres, du plus grand découvreur, Louis Joliet, écrite par un grand romancier, Alain Grandbois, pour mieux comprendre le ‘’Je suis né d’une race fière’’ de NOTRE hymne national, le ‘’O Canada’’ volé par les Anglais.

 

Il chérit et cultive sa langue :

  • Il donne de beaux prénoms français à ses enfants
  • Il n’utilise pas d’anglicismes comme « cool », « too much », « whatever » ou le hideux « flabergasté »…
  • Il écoute les belles chansons du Québec et de France

 

Il pratique le nationalisme économique : 

  • Puisque l’argent est le nerf de la guerre, il utilise comme banque la Caisse Desjardins ou la Banque nationale
  • Il fait son épicerie dans un magasin indépendant ou une chaîne québécoise comme Metro et mange des produits québécois, comme nos excellents fromages
  • Il ne boit son café ou ne mange de la malbouffe que dans des restos appartenant à des Québécois et non à des chaînes américaines
  • Il choisit une compagnie québécoise comme Vidéotron pour ses besoins de communication, et non Bell ou Rogers
  • Il achète ses meubles d’un magasin québécois
  • Il répare sa maison en se procurant les matériaux chez RONA, Marcil, Patrick Morin…
  • Il effectue au moins un voyage par année au Québec, avant d’aller dans le Sud
  • Il a fait au moins une fois dans sa vie le tour du Rocher Percé