Projet de Panthéon national des Canadiens-Français (cliquer sur un visage pour accéder à la biographie)

7

Saints martyrs
canadiens

8

Marie de 
l'Incarnation

9

Dollard
des Ormeaux

10

Marguerite
Bourgeoys

11

Pierre Lemoyne
d'Iberville

12

Mgr Ignace
Bourget

13

Louis Riel

14

Calixa Lavallée

15

Emma Albani

16

Alphonse
Desjardins

17

Famille
Joseph
Casavant

18

Léo Major

19

William Henry
Scott

20

François Xavier
Garneau

21

Joseph-Xavier
François Perreault

22

À venir

23

Famille
Hébert-Rollet

24

Madeleine
de Verchères

25

Louis Jolliet

26

Famille
Baillargé

27

Jean-Baptiste
Ferland

28

Philippe
Aubert de Gaspé

29

Conrad Kirouac
Fr. Marie-Victorin

30

Curé
Antoine Labelle

31

Louis Cyr

32

Henri d'Arles
(Beaudet)

33

Capitaine
J.-E. Bernier

34

Esdras
Minville

35

Maurice
Séguin

36

À venir

Autres personnages remarquables

Dernières parutions

Ni mirage référendaire ni constitution à rabais

Personne après Daniel Johnson en 1968 ne saura poursuivre ou relancer à son haut niveau la cause de la nation historique canadienne-française. Tous les chefs nationalistes du Québec, en commençant par René Lévesque, sont tombés dans le piège référendaire tendu par les conseillers de Pierre Trudeau.

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La fête patriotique des Canadiens-Français

Un phénomène de compensation dans l’ordre symbolique peut adoucir le sort peu enviable d’un peuple frustré de s’être vu refuser toutes ses réclamations de réformes constitutionnelles. Vus sous cet angle, les changements successifs apportés à la Saint-Jean-Baptiste élevée au rang de « fête nationale » font illusion.

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Notre fête nationale

Ne pouvoir vivre comme nous sommes, convenablement, dans notre langue, à notre façon, ça nous ferait le même effet que de nous faire arracher un membre, pour ne pas dire le coeur. A moins que nous n’y consentions peu à peu, dans un déclin comme celui d’un homme que l’anémie pernicieuse amène à se détacher de la vie. De cela, encore une fois, seuls les déracinés par­viennent à ne pas se rendre compte.
– René Lévesque

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Les 68 ans de la conférence de Bandung

les pays occidentaux de l’Alliance atlantique, dont le Canada fait partie, s’étaient déjà fait demander poliment de balayer devant leur porte. Mais les pays anglo-saxons, et leurs obligés, résistent mal à la tentation de donner des leçons aux autres.

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Les États généraux du Canada-Français, 1967-69 

(Originellement publié sur le blog de l’auteur le 11 juin 2021) Le Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes tenu du 12 au 17 juin 2021, une perspective canadienne-française Commençons par noter : il y a cinquante ans c’était le Canada-Français et ses États généraux, aujourd’hui ce sont les «

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ChatGPT et les Canadiens-Français

Bon nombre d’entre vous aurez sans doute entendu parler de ChatGPT, l’intelligence artificielle pour tous. Disons d’entrée de jeu qu’ « intelligence » est objectivement une exagération, même suivi d’ « artificiel ». Le produit accessible sur Internet est une simulation sophistiquée et très réaliste, mais une simulation quand même. Ce « saint Graal » est en chantier

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Le Canadien français et son double

Depuis 1760, nous faisons face à une volonté organisée de nous assimiler jusqu’à nous faire disparaître sans laisser de traces. Lafontaine revient au lendemain d’une deuxième défaite. Aujourd’hui notre tête est sur le billot. Avec le recul du temps il est toujours tentant de juger avec plus de détachement tant

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Les derniers Canadiens-Français : Dans le jus de pieds de Lord Durham

J’aurais beaucoup à redire sur les formules désarmantes avancées urbi et orbi par votre savant informateur, ce fils du Saguenay qui a pourtant tout reçu des siens (instruction, respect, honneurs, bonne fortune), mais l’indignation qui m’habite après avoir pris connaissance de certains termes contenus dans cette sidérante opération de réécriture de notre histoire, de cet acte de reddition culturelle, de cette trahison de la mémoire, atténuerait la portée de mes reproches à l’endroit de ce discours. Je préfère attendre que l’étonnement soit passé.

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Au fond des choses

Pour un fédéralisme des nations au Canada

Le 5 février 1968, il y a 55 ans, Daniel Johnson prenait la parole devant tous les représentants du Canada anglais réunis. Il prononçait sans doute le discours le plus important de sa carrière d’homme d’État, un discours remarquable et percutant. Il plaidait un projet de réforme des institutions qui ne sera jamais repris avec la même hauteur par les premiers ministres du Québec qui suivront. Johnson incarnait alors une doctrine politique élaborée par les Canadiens-Français au cours des décennies précédentes, elle avait atteint le stade de sa maturité. Il parlait à l’occasion d’une conférence constitutionnelle qu’il avait lui-même réclamée.

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La Loi 99 élucidée et l’avenir des Canadiens-Français

La Fédération des Canadiens-Français revient sur la loi 99 (2000) Ceux qui suivent la Fédération des Canadiens-Français savent que nous avons proposé un amendement à la loi 99 à l’occasion du vingtième anniversaire de son adoption, le 7 décembre 2020, il y a deux ans. À cette occasion, nous avons

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François-Albert Angers

Pour certains, le déclin du souverainisme arrive avec le référendum de 1995. Pour d’autres, il commence beaucoup plus tôt. Nous tâcherons d’échapper à la «déformation de notre culture politique» pour «analyser de manière lucide les phases les plus douloureuses» de notre propre histoire récente.

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François-Albert Angers

Pour certains, le déclin du souverainisme arrive avec le référendum de 1995. Pour d’autres, il commence beaucoup plus tôt. Nous tâcherons d’échapper à la «déformation de notre culture politique» pour «analyser de manière lucide les phases les plus douloureuses» de notre propre histoire récente.

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Liste de lecture

Résumé

Entrevue de Jean-Claude Dupuis sur Maurice Duplessis par Louis Champagne de CKAJ – 23 aout 2016

Nouveau !

Nous sommes maintenant sur « X » (ex-Twitter) ! 
Voyez Fédération des Canadiens-Français (@La_FCF)
Éphémérides du 27 septembre
  • Aujourd'hui en 1540 - Le pape Paul III reconnaît la Compagnie de Jésus, l'ordre catholique fondé par Ignace de Loyola, un converso espagnol, ses membres appelés Jésuites. En 1516, Ignace et six de ses amis étudiants à Paris, dont François Xavier, firent vœu de pauvreté et de chasteté et fondèrent la société de Jésus. Ils partirent en 1537 vers l'Italie pour obtenir la reconnaissance de leur ordre par le pape, ce qu'ils obtiennent par la bulle Regimini militantis.
  • Aujourd'hui en 1646 - Son escorte huronne l'ayant abandonné au fort Richelieu, Isaac Jogues est refait prisonnier par les Iroquois, qui blâment les «Robes noires» pour l'épidémie de petite vérole et la famine. Ils l'avaient capturé une première fois en 1642, alors en guerre avec la France. Torturé et réduit à l'esclavage, Jogues avait été amené à un village près d'Albany, d'où des marchands hollandais lui avaient permis de s'échapper. De retour en France il revint en Nouvelle-France pour vivre encore parmi les Hurons où il devait négocier la paix.
  • Aujourd'hui en 1660 - Mort de Saint Vincent de Paul, né en 1581. Ordonné prêtre à 19 ans, il fut renommé pour la charité qu'il exerça envers les galériens dont il était l'aumônier, des enfants trouvés et des paysans ignorants. Il fonda en 1625 la Congrégation des Lazaristes, vouée au service des pauvres des campagnes, puis en 1633, avec Louise de Marillac, la Compagnie des Dames de la Charité. Louis XIII l'appela pour mourir dans ses bras. St-Vincent de Paul est mort en 1660.
  • Aujourd'hui en 1701 - Décès de François Dollier de Casson. Entré chez les Sulpiciens à Paris après trois années de service militaire distingué, il avait été envoyé au Canada en 1666. Il devint aumônier militaire et ensuite curé à Trois-Rivières, avant d'entreprendre en 1669 une expédition missionnaire au sud des Grands Lacs. Nommé en 1670 supérieur des Sulpiciens et seigneur de Montréal, il se consacra à l'organisation de la ville, à la construction d'une église et à la rédaction d'une Histoire de Montréal.
  • Aujourd'hui en 1913 - Bénédiction et pose de la pierre angulaire du nouvel hôpital Sainte-Justine, à sa troisième adresse rue St-Denis coin Bellechasse à Montréal. Pendant plus de 40 ans, le bâtiment sera agrandi à cinq reprises par la construction de nouvelles ailes, l’achat ou la location de propriétés connexes afin de répondre aux besoins de la population en constante augmentation, si bien que des 80 lits disponibles en 1914, l’hôpital en comptera 540 lors de son déménagement en 1957.
  • Aujourd'hui en 1938 - Décès à l'Ïle d'Orléans d'Horatio Walker, né en 1858 à Listowel en Ontario. Paysagiste et peintre de moeurs, il vint s'établir à l'Île d'Orléans en 1883, pour devenir vers 1900 le peintre le plus important d'Amérique, les Américains et les musées s'arrachant ses oeuvres. Après la Première Guerre mondiale, sa peinture perd de sa popularité et les ventes déclinent. À sa mort, il est au bord de la faillite et c'est son ami Clarence Gagnon qui s'occupe de régler sa succession.
  • Aujourd'hui en 1964 - Formation du parti le Regroupement national. Après la parution de son livre Québec libre, le docteur René Jutras lance le Regroupement national (RN), formation politique prônant l’indépendance du Québec. Lui et quatre membres du RIN viennent de quitter ce mouvement, jugeant son orientation idéologique trop à gauche. Le nouveau mouvement deviendra le Ralliement national (RN) lorsqu'il fusionnera avec l’aile québécoise du Ralliement des créditistes dirigée par Laurent Legault.
  • Aujourd'hui en 1977 - Charles Marion, le gérant d'une caisse populaire de Sherbrooke, est relâché après le versement d'une rançon de $50,000. Son enlèvement qui a duré 83 jours est le plus long de l'histoire canadienne. Enlevé à son chalet à Stoke dans l’Estrie par Michel de Varennes et Claude Valence, il aurait deux fois attenté à sa vie durant sa captivité dans une cache souterraine à Gould. Marion ne réussira jamais à reprendre une vie normale et s’enlèvera la vie dans son chalet où tout avait commencé 22 ans après les événement.
  • Aujourd'hui en 1998 - Fondation de Google dans la Silicon Valley en Californie par Larry Page et Sergey Brin, créateurs d'un moteur de recherche. Ils se sont donné la mission « d'organiser l'information à l'échelle mondiale et de la rendre universellement accessible et utile ». Début 2008, Google vaudra quelque 210 milliards de dollars à la Bourse de Wall Street et possédera le parc de serveurs le plus important de la planète, avec environ 500,000 machines réparties sur 32 sites à travers le monde.
  • Aujourd'hui en 2010 - La série d'animation Les Pierrafeu, mettant en scène un couple préhistorique dont la vie représente celle des banlieusards américains des années 60, fête cette semaine ses 50 ans aux États-Unis. Créés par William Hanna et Joseph Barbera, les Pierrafeu a connu le succès en associant un graphisme plaisant pour les enfants et des dialogues satiriques qui faisaient mouche auprès des adultes. Une version postsynchronisée en français au Québec y fut longtemps diffusée.
  • Aujourd'hui en 1912 - Naissance à Nominingue de Gérard Delage. Surnommé ‘le prince des gastronomes’, il fut le fondateur et directeur général ainsi que conseiller juridique pendant 36 ans de l'Association des hôteliers de la Province de Québec et de la revue L'Hôtellerie. Il fut également l'un des fondateurs de l'Institut du tourisme et de l'hôtellerie de la province de Québec à Montréal et de la Fondation Gérard Delage ayant pour objectif de favoriser financièrement l'avancement des techniques de l'hospitalité et du tourisme par l'attribution de bourses d'études.
  • Aujourd'hui en 1941 - Naissance de Serge Ménard, qui sera bâtonnier du Québec avant de devenir Ministre de la Sécurité publique de 1994 à 1996 et de 1998 à 2002, de la Justice et Procureur général de 1997 à 1998 et des Transports de 2002 à 2003 dans les gouvernements péquistes de Jacques Parizeau, Lucien Bouchard et Bernard Landry. De 2004 à 2011 il sera député du Bloc québécois à Ottawa et présidera en 2013 la commission sur la révolte des étudiants en 2012 surnommée « Le printemps érable »
  • Aujourd'hui en 1951 - Naissance à Montréal de Michel Rivard, membre fondateurs du groupe Beau Dommage. Comédien, chanteur et musicien dans la troupe de théâtre La quenouille bleue à l’Université du Québec à Montréal avec le parolier Pierre Huet et le pianiste Robert Léger, c’est avec eux qu’il lancera Beau Dommage, pour ensuite débuter une carrière en solo en 1977. Fils du comédien Robert Rivard, il composera des trames sonores et interprètera des rôles dès son enfance à la télévision, puis adulte au cinéma et au théâtre.
  • Aujourd'hui en 1952 - Naissance d'André Viger. Ce marathonien paraplégique a fait l'émerveillement des sportifs en gagnant des marathons en fauteuil roulant. Champion quatre fois au Japon, trois fois à Boston et trois fois à Montréal, il remporte une médaille d'or et deux médailles d'argent aux Jeux de Barcelone en 1994. Personnalité de l'année 1986 du journal La Presse. il a été intronisé au Panthéon des sports du Québec. Il est décédé en 2006.
  • Aujourd'hui en 1961 - Naissance à Sherbrooke de Jean-Marc Rozon. Pionnier du ski acrobatique, il fut le leader de la Québec Air Force qui domina le circuit de la coupe du monde dans les années 80. Il y prit part à 50 épreuves et termina parmi les trois premiers à 25 occasions (13 médailles d'or, neuf médailles d'argent, trois médailles de bronze), remportant le titre en 1986-1987 et en 1987-1988. Il récolta la médaille d'or de ski acrobatique aux jeux olympiques de Calgary en 1988.

Un peuple de fondateurs

  • Né à Québec, Alain Grandbois – La vie d’un de nos plus grands explorateurs, Louis Jolliet qui, avec le Père Marquette, en 1673, ‘’découvre » le Mississippi.
  • Les anciens Canadiens, Philippe Aubert de Gaspé – La guerre de la Conquête divise deux étudiants du Petit Séminaire de Québec, l’un canadien-français, l’autre écossais.
  • L’Appel de la race, Lionel Groulx – La loi fédérale sur l’abolition de l’enseignement en français en Ontario provoque une crise entre un député canadiens-français et son épouse anglaise.
  •  Le Roi de la Côte Nord, Yves Thériault – La vie extraordinaire de Napoléon-Alexandre Comeau, qui a vécu de 1848 à 1923. Un héros local aimé de tous, médecin autodidacte, fin connaisseur des langues indiennes, chasseur, pêcheur, aventurier, etc.
  •  Agaguk,Yves Thériault – Pour comprendre la mentalité ancestrale et les problèmes actuels des Inuits. L’action se déroule vers 1940, un peu avant l’arrivée massive des blancs dans le nord. Les habitants ont franchi 10,000 ans d’histoire en une génération.
  • Georges Farah Lajoie, le détective venu d’Orient, Yves Messier – L’histoire vécue de ce libanais, qui émigra vers 1920 à Montréal et devint le premier policier scientifique. Pour s’intégrer, il ajoute Lajoie à son nom qui est la traduction française de Farah. Il marie une québécoise et ils auront de nombreux enfants. Il est chargé d’enquêter dans les affaires de meurtres les plus louches de l’époque.

Le choix des membres

  • La grande Marie ou le luxe de sainteté, Carl Bergeron
  • Voir le monde avec un chapeau, Carl Bergeron
  • L’apostasie tranquille au Québec, Gilles Dandurand,
  • Histoire des deux nationalismes au Canada, Maurice Séguin
  • Trente arpents, Ringuet,
    La vraie campagne avant qu’elle ne s’évapore dans l’américanité.
  • Histoire du Canada, Lionel Groulx
  • Dossier sur le pacte fédératif  La Confédération : pacte ou loi ? R. Arès, S.J., 1967
  • Les Plouffe, Roger Lemelin
  • Égalité ou indépendance, Daniel Johnson
  • Jos connaissant, Victor Lévy-Beaulieu
  • Jean Rivard, défricheur (suivi de Jean Rivard, économiste), Antoine Gérin-Lajoie
  • Iberville le Conquérant, Guy Frégault
  • Le 30 juillet 1609, à l’emplacement du futur fort Carillon, Champlain d’un coup d’arquebuse sème la déroute dans une troupe d’Iroquois venus confronter son détachement.

  • Bataille de la Monongahela. En avril 1755, les troupes de de Beaujeu renforcées de miliciens et de guerriers amérindiens tendent un embuscades aux troupes de Braddock venu tenter de reprendre le fort Duquesne. De Beaujeu y perd la vie mais les Britanniques sont décimés par les tirs précis des miliciens et de leurs alliés. Braddock mort, c’est la déroute. Un jeune colonel de 23 ans nommé George Washington organise la retraite.

  • La bataille du fort Carillon, au sud du lac Champlain, où le 8 juillet 1758 Montcalm avec 3,500 hommes vainquit l’armée d’Abercrombie forte de 15,000 soldats.

  • Le 28 avril 1760, Vaudreuil et Lévis venus de Montréal avec des troupes régulières, des miliciens et des guerriers amérindiens défont les soldats de Murray à Ste-Foy et amorcent le siège de Québec.

  • Bataille de St-Denis sur  Richelieu. Le 23 novembre 1837, les 200 miliciens dirigés par Wolfred Nelson mettent en déroute le  détachement de 300 soldats venus arrêter le chef des Patriotes Louis-Joseph Papineau sous la direction de Charles Gore.

  • Bataille du Moulin de Lacolle. Charles de Salaberry, à la tête de 530 hommes, profitant de la confusion créée par ses alliés amérindiens chez les 1,100 hommes du général Dearborn qui venaient d’occuper le fortin de Lacolle, met en déroute la force d’invasion américaine.
  • 2015 – Un premier contrat est signé en Corée du Sud, avec l’église presbytérienne Saemoonan de Séoul. L’installation de l’orgue (opus 3906, quatre claviers, 63 jeux) est complétée en 2019.
  • 2014 – Un orgue neuf (opus 3905, trois claviers, 31 jeux) est installé à la Cathédrale historique du Nord « Bei Tang » de Beijing, Chine.
  • 2013 – Des orgues neufs à traction mécanique (avec console attachée à l’orgue et une deuxième console mobile sur la scène) sont installés dans deux nouvelles salles de concert au Québec,
    La Maison symphonique de Montréal (opus 3900, quatre claviers, 83 jeux) et au
    Palais Montcalm de Québec (opus 3896, trois claviers, 37 jeux).
  • 1976 – Casavant installe le plus grand orgue (opus 3312, cinq claviers, 123 jeux) de son histoire à la Basilique Santa Maria de Guadelupe de Mexico City.
  • 1961 – Casavant installe son première orgue moderne à traction mécanique (opus 2698, deux claviers, 14 jeux) à l’église Notre-Dame-de-l’Assomption de Saint-Hyacinthe, Québec, Canada.
    Un leader du mouvement de réforme de l’orgue en Amérique du Nord, Casavant a construit plus de 200 orgues à traction mécanique depuis le début des années 1960.
  • 1927 – Casavant installe un orgue à Salisbury, Rhodésie (aujourd’hui Harare, Zimbabwe) (opus 1220, deux claviers, 18 jeux). Cet orgue est toujours utilisé et il a été restauré récemment.
  • 1927 – Casavant installe un premier orgue au Japon, à l’église Holy Trinity de Tokyo (opus 1208, deux claviers, 18 jeux). Cet orgue sera détruit pendant la Seconde Guerre mondiale.
  • 1891 – Casavant installe un premier orgue de quatre claviers (opus 26, 82 jeux) à la Basilique Notre-Dame de Montréal, qui comprend notamment un clavier principal de 32 pieds en montre et un système électropneumatique de combinaisons ajustables. Cet instrument est à l’époque le deuxième plus important orgue en Amérique du Nord. C’est cet instrument, que les frères Casavant surnommaient leur « morceau de roi », qui a établi la réputation internationale de Casavant Frères. Cet orgue a été inauguré par Frederick Archer en mai 1891.
  • 1885 – Casavant installe un premier orgue de trois claviers à la Cathédrale de Saint-Hyacinthe (opus 8, 38 jeux). Premier exemple d’utilisation de machines Barker (assistance pneumatique) chez Casavant.
  • 1880 – Installation du premier orgue construit par Casavant Frères à la chapelle Notre-Dame-de-Lourdes de Montréal (opus 1, deux claviers, 13 jeux). Reconstruit en 1909, cet instrument est encore utilisé aujourd’hui. Ce premier orgue comprend notamment deux combinaisons ajustables.

 

Pour informations supplémentaires, voir https://www.casavant.ca/histoire/

  • Caisse populaire de Lévis, fondée le 6 décembre 1900, naissance du Mouvement Desjardins
  • Caisse populaire St-Joseph de Lévis, fondée le 28 juillet 1902
    Devant l’absence d’une loi encadrant les caisses populaires, Alphonse Desjardins reste prudent et fonde seulement trois autres caisses à proximité de son lieu de résidence et de travail, c’est-à-dire Lévis et Ottawa.
  • Caisse populaire de Hull, fondée le 1er septembre 1903 (interruption des activités en 1907).
    Cette caisse, comme près d’une cinquantaine d’autres fondées à l’époque d’Alphonse Desjardins, a fermé ses portes avant sa mort en 1920.
  • Caisse populaire St-Malo, Québec, fondée le 4 janvier 1905.
  • Caisse populaire de Paquetteville (Dixville), fondée le 22 septembre 1907.
    Il s’agit de la première caisse fondée après l’adoption d’une loi encadrant les caisses par l’Assemblée législative du Québec. Il s’agit également de la première caisse en milieu rural.
  • Caisse populaire de Saint-Bonaventure, fondée le 1er novembre 1907 (interruption des activités avant 1913).
  • Caisse populaire de Saint-Isidore, fondée le 27 décembre 1907.
  • Caisse populaire de Contrecoeur, fondée le 16 février 1908 (interruption des activités avant 1916).
  • Caisse populaire de Nominingue, fondée le  22 mars 1908 (interruption des activités avant 1916).
  • Caisse populaire de Québec, fondée le 29 avril 1908.
  • Caisse populaire de Beauport, fondée le  3 mai 1908 (interruption des activités vers 1921).
  • Caisse populaire de St-Grégoire du Sault, Montréal, fondée le  3 mai 1908 (interruption des activités en 1919).
  • Caisse populaire de Montréal, fondée le  1er juin 1908 (interruption des activités avant 1912).
  • Caisse populaire de Maria, fondée le  13 septembre 1908.
  • Caisse populaire de Rimouski, fondée le  17 septembre 1908.
  •  
Au total, Alphonse Desjardins participe à la fondation de 136 caisses populaires au Québec, 18 en Ontario et 9 aux États-Unis.

Nos remerciements à Pierre-Olivier Maheux, historien à la Société Desjardins.

Il découvre et connaît ses racines : 

  • Il est monté voir l' »Athènes des Draveurs » de Félix-Antoine Savard
  •  Il a lu la biographie ‘Né à Québec’, d’un des plus grands de nos ancêtres, du plus grand découvreur, Louis Joliet, écrite par un grand romancier, Alain Grandbois, pour mieux comprendre le ‘’Je suis né d’une race fière’’ de NOTRE hymne national, le ‘’O Canada’’ volé par les Anglais.

 

Il chérit et cultive sa langue :

  • Il donne de beaux prénoms français à ses enfants
  • Il n’utilise pas d’anglicismes comme « cool », « too much », « whatever » ou le hideux « flabergasté »…
  • Il écoute les belles chansons du Québec et de France

 

Il pratique le nationalisme économique : 

  • Puisque l’argent est le nerf de la guerre, il utilise comme banque la Caisse Desjardins ou la Banque nationale
  • Il fait son épicerie dans un magasin indépendant ou une chaîne québécoise comme Metro et mange des produits québécois, comme nos excellents fromages
  • Il ne boit son café ou ne mange de la malbouffe que dans des restos appartenant à des Québécois et non à des chaînes américaines
  • Il choisit une compagnie québécoise comme Vidéotron pour ses besoins de communication, et non Bell ou Rogers
  • Il achète ses meubles d’un magasin québécois
  • Il répare sa maison en se procurant les matériaux chez RONA, Marcil, Patrick Morin…
  • Il effectue au moins un voyage par année au Québec, avant d’aller dans le Sud
  • Il a fait au moins une fois dans sa vie le tour du Rocher Percé